EvilJap
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« Tablier de sapeurs »....façon Zombis ! [21/05/12]

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Aurey
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MessageSujet: « Tablier de sapeurs »....façon Zombis ! [21/05/12] « Tablier de sapeurs »....façon Zombis ! [21/05/12] Icon_minitimeMer 19 Mai - 23:31


https://eviljap.forumactif.org/zone-residentielle-f43/un-coup-de-tranchoir-et-puis-c-est-marre-21-05-12-t90.htm#624 => vers l'épisode quatrième : "Un coup de tranchoir et puis c'est marre !"



Episode cinquième : « Tablier de sapeurs » façon Zombis !
[Jour 1 - 21 mai 2012 - 18h00]


Le jeune homme claque la porte de son appartement et la verrouille d'un tour de clé. Il remarque sur le côté le fameux panneau.

Sans vraiment réfléchir, il s'empare du panneau et dévale les escaliers. Une fois dans la rue, il fonce vers les bâtiments qui encadrent le Cat's Eyes.

Bon... C'est bien beau tout ça, mais qu'est-ce que je vais pouvoir faire pour aider ?.... Bon déjà, vu le nombre de couteaux et les cuistot qui savent le manier autrement qu'en ustensile de cuisine, ils peuvent se défendre eux même et peut-être même contre-attaquer...

Tout en réfléchissant, le jeune Aurélien s'était arrêté de courir et évoluait silencieusement au milieu d'une rue. Il pouvait compter une bonne dizaine de zombis par contact visuel. Soudain, c'est le déclic. Il se dit qu'il pourrait peut-être repérer le Ki des zombis.

Mais attends.... Ouuui !! Je peux peut-être repérer le Ki des zombis !

Il s'arrête et ferme les yeux, cherchant à calmer sa respiration au maximum. Grâce à son entrainement, il arrive repère sans difficulté les créatures vivantes proches de lui : le chat qui traverse la route a vive allure et les corbeaux installés sur le feu tricolore. Ce qui le taraude, c'est les nuages de poussières qui volent à moins de deux mètres du sol et qui gène son analyse.

Mais d'habitude je ne ressens pas la poussière... Serait-ce... ?

Ouvrant son sixième sens au maximum, il se concentre sur les fameuses « poussières ».

C'est vraiment étrange... Je n'ai jamais ressenti ce type Ki jusqu'à maintenant... C'est beaucoup moins condenser et intense que ce que je ressens d'habitude... Et le fait que ces nuages se trouve si près du sol ne peut signifier qu'une chose... Il s'agit de zombis !

En effet, lorsqu'il ouvre les yeux et qu'il regarde là où se trouvait le nuage qu'il étudiait, il voit un magnifique zombi avec des bouts de chairs qui pendent dans tous les sens. Heureux de sa trouvaille, il reprends sa route et s'aperçoit qu'il vient d'attirer l'attention des trois zombis qui passaient à côté de lui : il a shooté dans une pierre...

S'ensuit alors une fuite silencieuse et rapide tandis que les zombis le chassent en poussant des « Geeuurh » qui rameute ceux qui sont proches d'eux. Heureusement, il rentre dans un bâtiment et arrive à en ressortir de l'autre côté indemne et donc libéré de cette chasse. Bon, il a du provoqué un traumatisme crânien définitif sur un corps mobile qui passait par là..

Le jeune homme reprend donc sa route et arrive finalement au café. Tandis qu'il se cache dans une ruelle, il compte le nombre de zombis présents devant la façade. Il en dénombre près de 20, mais son sixième sens lui indique que dans cinq petites minutes, ce nombre aura été multiplié par 1,5.

Alors qu'il sort son portable pour essayer de prévenir Ayano, il voit avec stupeur et horreur qu'il n'y a plus de réseau dans le coin. Il en profite pour regarder l'heure : 18h20. Il jure bien comme il faut aussi faiblement que possible, et se dirige vers la porte de service du Cat's Eyes.

Aucun cadavre ambulant dans le coin... Je peux y aller !

Il se dirige vers la porte et pose la main sur la poignée. Soudain, il sent une présence derrière la porte. Prudent, il décide de toquer doucement.

- C'est Rey... S'il y a quelqu'un, qu'il me réponde de la même façon... chuchote-t-il
- Rey ? C'est Tony ! Attends je t'ouvre.

Une seconde plus tard, la porte s'ouvre et un jeune homme bien bâti se tient dans l'encadrement, une poêle dans une main, un couteau dans l'autre. Et la seconde d'après, la porte est de nouveau fermée.

- Bonsoir tout le monde...
- Rey ! Tu vas bien ? demande une Ayano affolée
- Ça fait plaisir de te voir entier mon garçon ! Je suis monté dans les étages tout à l'heure, pour voir à quoi ressembler la situation par une fenêtre. C'est pas joli...
- Ouais et encore là, tu n'as qu'un aperçu de la situation... C'est encore plus terrible en ville. Le nombre de créatures ne cessent de croître et ce de façon exponentielle. La ville est encore potable d'un œil extérieur mais la situation ne va pas s'arranger...
- J'imagine...
- Qu'est-ce qu'on va faire, patron ?
- Je ne sais pas... Rey ?
- .....J'aurai bien idée, mais il va falloir que vous fassiez confiance totalement...Tous !
- ...
- Si je vous dis de laisser les blessés derrière vous et de courir sans vous retourner, vous le ferez ? Je vous l'ai dit tout à l'heure... Une seule morsure ou griffure et vous êtes condamnés... Alors ?

L'assemblée, composée par trois cuistots, cinq clients, Daisuke et Aya, aquiesce.

- Bon ! Nous n'avons pas beaucoup de temps ! Ils sont vingt-cinq devant et cinq autres arriveront d'ici cinq minutes.
- Comment pouvez vous savoir ça ? demande l'un des clients.
- Grâce au Ki...
- Au quoi ?
- Au Ki...
- C'est une énergie que produit chaque atome. Pour faire simple, on peut la considérer comme de la chaleur qui est émise par les atomes. Cette énergie est appelé Ki dans traditions chinoises et japonaises.
- Cependant, il existe deux sortes de Ki : l'inerte et l'organique. Celui que vient de vous décrire Aya est appelé Ki inerte et si on lui donner une couleur, il sera dans les tons bleus. Il faut savoir que le Ki organique est spécifique aux êtres vivants et que chaque espèce vivante possède un Ki propre, qui varierait dans les teintes du rouge au jaune. Ce Ki là est produit par les cellules des organismes vivants, un peu comme l'énergie produite par les réactions chimiques qui se passent dans les cellules. Etant donné que chaque cellule du corps humain produit cette énergie, aussi infime soit-elle chez certain, vu que ces créatures ont leur cerveau qui fonctionne encore un peu, ils émettent un Ki, faible certes, mais existant.
- C'est bien beau tout ça, mais en quoi ça nous avance ? s'impatiente un autre client
- Eh bien, certain arts martiaux permettent d'utiliser ce Ki et quasiment tous permettent d'apprendre à le ressentir.
- Tu veux dire...?
- ...que je suis capable de sentir le Ki des zombis.

Daisuke, le patron du bar, avance soudainement et pose la main sur l'épaule de Rey.

- Bon, on t'écoute ! Quel est ton plan ?
- Je vais essayer de les attirer loin d'ici pour vous permettre de sortir du café avant que l'on ne soit completement encerclé. Vous sortirez par la porte de devant quand il n'en y aura plus.
- Quoi ? Je refuse de te laisser y aller seul !
- Aya ! J'ai besoin que tu les guides à la maison. Je vous rejoindrez quand je serai passez au lycée la situation, d'accord ? De plus, je suis le plus apte à me sortir des griffes de trente zombis et tu le sais...
- Mais...
- Patron ! Tu l'emmènes de force s'il le faut, d'accord ? Quand à vous, les gars, je compte sur vos capacités de cuisine pour ne laisser aucun zombi toucher un cheveux de ma douce et du groupe entier !
- Affirmatif ! disent-ils à l'unisson
- Ne t'en fais pas, Rey ! Si jamais y'en a un qui s'approche trop d'Aya, je lui fait « un tablier de sapeurs » ! s'exclame Tony
- ...façon Zombis ! ajoutent les deux autres
- Bien ! Daisuke, sers-toi de ça !

Il tend le panneau au patron du café.

- Mais et toi ?
- Moi j'ai déjà Kagutsuchi...

Il ouvre l'étui en cuir et sors trois morceaux de bois dont un portant une lame recourbé et légèrement stylisé et un autre portant une pointe à une de ses extrémités. Il assemble les trois morceaux et se retrouve avec un Naginata aussi grand que lui dans les mains.

Il fait un signe de tête à l'assemblée et se dirige vers la porte de service après avoir embrassé amoureusement Ayano.

Quelques secondes plus tard il reprend ruelle de tout à l'heure et vient se mettre au milieu de la route. Puis fermant les yeux pour calmer sa respiration, il plonge profondément en lui à la recherche de courage. Il arrive devant une porte et l'ouvre. Une lumière éclatante inonde son cœur et son esprit. L'instant d'après il frappe le sol de la pointe de son Naginata sur le bitume, en un rythme lent. Il ouvre de nouveau les yeux et l'éclat mystérieux est de nouveau présent : l'instinct de survie est de retour...

Evidemment, les zombis, attirés par le bruit, réagissent au rythme et se mentent en mouvement dans la direction de Rey. Le jeune homme accélère le rythme tandis qu'il se dirige lentement vers la ruelle qu'il a quittés un peu plus tôt. Une fois dedans, il recule de quelques pas et prend sa pose de combat.

Normalement, il n'y a pas assez de place pour que les zombis avancent à plus d'un à la fois dans cette ruelle. Mais vu le nombre je risque d'avoir du mal à tenir le rythme... Bon pas le temps de se poser de questions... A l'attaque !!

Et le premier zombis s'avança, suivit d'un autre, et d'un autre, et d'encore un autre, et d'un autre de nouveau... Les têtes volent ou se vident au fur et à mesure que les zombis avancent. Malheureusement, Aurey n'est pas infatigable et il commence à haleter à force de trancher et de planter. Il recule peu à peu dans la ruelle tandis que les zombis s'enchainent. Soudain, il repousse sur les autres cadavre mouvants le quinzième non-mort à s'être aventuré dans la ruelle et s'accroche à une échelle de secours style américaine et grimpe afin de se mettre hors de portée pour pouvoir souffler et retrouver le sien.

Quand soudain, un bruit de moteur et de crissement de pneu se fait entendre dans la rue principale...




Voir en dessous pour l'épisode suivant : "La différence entre la Resto Co et la Grande Cuisine..."




Dernière édition par Aurey le Dim 12 Sep - 17:15, édité 4 fois
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Aikawa Gajil
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MessageSujet: Re: « Tablier de sapeurs »....façon Zombis ! [21/05/12] « Tablier de sapeurs »....façon Zombis ! [21/05/12] Icon_minitimeMar 25 Mai - 0:35



► DEUXIEME CONTACT ▬ SAUVETAGE EN EAU TROUBLE ◄
• Jour1 • 21 mai 2012 •


Il avait enfin fait face à une de ces créatures et pour être tout à fait sincère, le jeune homme n’avait pas tellement apprécié cet événement qui allait se reproduire dans très peux de temps. La créature n’avait plus rien de l’homme qu’il aurait du être, simplement animé d’un appétit vorace de chair fraiche. Alors qu’une personne normale aurait hurlée après avoir eu la jambe cassée, la bête n’avait même pas prononcée une parole de douleur, grognant simplement, tout en tendant les mains vers sa cible qui n’avait pas hésité à l’abattre. Après tout, s’il avait tenté de discuter ou quoi que ce soit d’amicale avec le zombi, ce dernier aurait tenté de la manger quoi qu’il arrive, il n’y aurait aucune compassion pour les contaminés, à présent, la survie de son peuple était la priorité et les personnes encore vivantes devaient quitter la ville au plus vite, sinon, ils allaient tous y passer et il ne désirait pas se retrouver dans le camp de infester à errer dans les rues à la recherche d’humains bien frais. C’est tout le contraire de ce qu’il désir. Au volant de son véhicule, il quittait donc l’école primaire déserte pour se rendre plus vers le nord afin de trouver les infester et de les éliminer. Qu’ils soient des enfants ou bien des personnes âgées, ils étaient contaminés et ils devaient mourir, un point c’est tout. Minoru, la personne la moins bavarde du lot prit enfin la parole, d’un naturel calme et posé, il n’ouvre la bouche que très rarement, pour dire des choses sensées, ce qui rajouta un petit dramatique à la situation.

Minoru → Nous devons nous attendre au pire… Et ne pas oublier que Tokyo pourrait subir de lourd bombardements dans les prochaines heures si les choses s’aggravent…

Sin → Si l’épidémie se propage trop rapidement, nous ne pourrons rien faire face à une armée de zombie. Le bombardement et la destruction de Tokyo sera la meilleur des solutions… pour le pays et le monde.

Gajil → Nous n’en sommes pas encore la ! Faisons de notre mieux pour sauver le maximum de vie et comme le commandant nous l’a ordonné, il va falloir faire tout ce que l’on peut pour endiguer cette épidémie. Coute que coute.

Si effectivement l’épidémie devenait trop importante, ils devaient s’attendre à une réaction rapide du gouvernement qui devrait sceller la ville et la bombarder… Mais comment faire ici ? Sur cette ville tellement grande et imposante ? Ca allait prendre du temps et malheureusement, même si l’armée commençait à faire des cordons de sécurités, ils allaient avoir bien du mal à stopper tout ceci. Ce qui voulait dire que s’ils n’y arrivaient pas, ce serait la fin de Tokyo et très probablement du Japon et avec un petit peu plus de chance, des contaminées pourraient quitter l’île pour le continuant et la, ce serait la fin du monde ! Au pouvoir des zombis… tous plus morts les uns que les autres… Ils sont beaux les humains, tués par un virus qu’ils n’ont pas pu stopper. Le petit groupe devait donc à présent se rendre vers le centre ville et stopper les zombis en leur coupant la tête ou bien en leur plaçant une balle en plein dans le crane. Ce qui serait plutôt compliqué pour des personnes ne sachant pas manier une arme à feux, mais les deux compagnons de Gajil étant des personnes bien entrainées feraient un carton très certainement, il n’en doutait pas une seule seconde ! Après tout, ils avaient étés entrainés pour devenir les meilleurs, alors ils n’avaient plus vraiment le choix.

Commandant → Groupe Beta, un signale d’alerte et d’évacuation va être envoyé dans tous les villes dans quelques minutes. Continuez à faire le ménage le mieux possible. Je vous contacterais lorsque vous devrez rentrer à la base. Aidez la population locale à s’enfuir. Bonne chance !

La ligne de communication coupa montrant que le Commandant avait fort à faire pour le moment. C’était juste compréhensible, il allait devoir prévoir un plan d’urgence avec tous les autres hauts gradés du gouvernement et ça n’allait pas être sans difficultés, surtout pour stopper cette épidémie monstre. Les décisions seraient compliqués et difficiles à prendre, il y aurait de lourdes conséquences, mais déjà bon nombre de personnes, surtout ceux de son unité savaient que la fin ne serait pas belle du tout… Gajil eu une petite pensée pour le groupe Alpha qui a présent devait être sur le chemin de retour ou bien en train d’affronter des hordes de contaminés, mais il ne s’en faisait pas trop non plus. Ils savaient se défendre ! Et puis Mister B. était avec eux, il pourrait faire une petite explosion dans le tas pour créer une voix de sortie, il ne s’en faisait pas le moins du tout monde pour eux. Le véhicule avançait dans les ruelles désertes, enfin, plus aussi désertes que ça finalement car Sin, grâce à sa très bonne vue et à son sens de l’orientation inouïe peut y voir plus loin que quiconque.

Sin → Les enfants sont devant et ils ne sont pas seuls, il y a des adultes un peux plus loin et … Il y a un type qui se défend tant bien que mal ! Lui, il a besoin d’aide, dépêche toi Gajil !

Gajil → Et les autres ? Ils sont contaminés ou ils sont encore humains ?!

Sin → Vu la lenteur à laquelle ils vont, et vers ou ils se dirigent tous, c’est certain, ils sont tous infectés. On fonce dans le tas !

Pas la peine d’en dire plus que déjà la fenêtre avant droite et la gauche à l’arrière s’ouvraient et des canons d’armes à feux dépassaient. Le plan était déjà prêt, ils allaient foncer droit devant, dans le tas, il fallait allait secourir ceux qui pouvaient encore l’être. Apparemment, il y avait encore une personne qui se défendait face aux zombis et ils allaient rapidement lui porter secourir ! Gajil poussa les moteurs à fond et prit la direction la plus rapide, la plus direct vers l’homme qui se battait au loin. Ils passèrent rapidement devant les premiers zombis et après une petite seconde d’hésitation, les bruits de tires commencèrent et les balles filèrent en direction des pauvres enfants contaminés. Minoru fit un carton plein, du moins, c’est-ce que pensait Gajil qui connaissait les talents aux revolvers de son coéquipiers. Sin quand à elle n’était pas spécialement une experte mais elle se débrouillée bien. Rapidement ils arrivèrent devant ce qui était vraisemblablement un bar ou bien un café et le jeune homme actionna le frein à main, décrivant un arc de cercle. Le cul du véhicule heurta deux enfants qui volèrent quelques mètres plus loin sous l’impact. Les trois portières s’ouvrirent à la volée et une pluie de balle continua à voler vers les créatures.

Gajil → Occupez vous de ceux que nous avons dépassés, je m’occupe du mec derrière !

Les deux soldats se cachèrent derrière le capot et commencèrent à tirer sur les zombis arrivants. A présent, c’était au tour de Gajil d’entrer en action. A une dizaine de mètre de lui, un homme se battait avec une sorte de long bâton autour duquel se trouvait une lame plutôt impressionnante. L’inconnu avait plusieurs corps à ses pieds, sous la tête tranchée ou bien fendue en deux. Il se débrouillait bien le jeune homme et c’était plutôt bien pour lui, la preuve, il était le seul non contaminé ! La lame de Gajil jaillit de son fourreau et le jeune homme se lança corps et âme dans la bataille, enfin, il n’en restait plus que quatre à affronter, les autres étant contenus par ses deux compagnons. Le sabre fendit sur la première créature plus morte que vivant lui tournant le dos, tous intéressés par celui qui faisait un carnage depuis pas mal de temps. Le pauvre n’eu pas le temps de comprendre ce qu’il venait de lui arriver, son crane transpercé par un morceau de métal. L’homme à la longue lance fit de même, tuant un mort vivant pour la deuxième fois. Comme un duo, nos lames respectives tranchèrent la chair, le crane des zombis pour les faire s’effondrer au sol, cette fois ci, complètement inertes. D’un mouvement sec, Gajil retira une bonne partie du sang qui souillait son arme avant d’approcher du jeune homme.

Gajil → Bien joué mon gars, je vois que tu as compris qu’il faut leur exploser le cerveau pour t’en débarrasser ! Il vaudrait mieux pour toi de dégager de la ville rapidement, l’épidémie se propage trop vite et je crains que si l’on trouve pas une solution à ce problème, Tokyo va rapidement devenir un cimetière vivant ou un tas de gravats fumants !

Il regarda derrière lui, voyant ses coéquipiers toujours en train de tirer sur la foule de zombie qui avait grossit depuis leurs arrivées. Les enfants étaient au sol, mais à présent il y avait des adultes, des jeunes, des plus jeunes, des femmes, des hommes. Il y en avait en grand nombre et ils allaient rapidement se faire avoir par leur grand nombre. En somme, ils étaient surpassés et ils devaient prendre la fuite… Cette épidémie était bien trop… grosse pour son équipe et c’était bien malheureux ! Ils devaient remonter en voiture et continuer leur route vers le centre afin d’en tuer le plus possible et surtout d’aider le plus de civil possible. Pour le moment il n’y avait que lui.

Gajil → Je m’appel Gajil et je fais partit de l‘armée, si tu veux, on peut te déposer quelque pars, on va aller vers le centre ville pour aider le plus de monde possible. Sinon quitte la ville ou va t’enfermer à double tour chez toi avec pas mal de provision tout en priant qu’ils ne te trouvent pas ! L’armée est en train de mettre la ville sous quarantaine, il vaudrait mieux être dehors quand les hordes de mort vivant déboulerons !

Sans plus attendre, il rengaina son sabre et repartit vers son véhicule, il devait se dépêcher car déjà les zombis étaient à quelques mètres de la voiture. Si le jeune homme prenait trop de temps à faire son choix, il allait surement devoir courir pour sa vie tout en évitant les hordes de zombis. A présent, ils devaient se diriger vers le centre, la ou toutes les créatures se rendaient, la ou la population de Tokyo travaillait et surtout la ou il y avait le plus de chair fraiche !





► GROUPE BETA ▬ SUR LA ROUTE ◄
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MessageSujet: Re: « Tablier de sapeurs »....façon Zombis ! [21/05/12] « Tablier de sapeurs »....façon Zombis ! [21/05/12] Icon_minitimeDim 12 Sep - 16:40


Voir au dessus pour l'épisode précédent : "« Tablier de sapeurs » façon Zombis !"



Episode Sixième : La différence entre la Resto Co et la Grande Cuisine...
[Jour 1 – 21 mai 2012 – 19h00]




En entendant le bruit de moteur, Aurey se dit qu'il y a encore des survivants dans le coin et soupire de soulagement. Ce qui l'étonne surtout c'est tout ce qui accompagne ce moteur : coup de feu, bruit de zombis percuté par le véhicule et surtout, le crissement de pneu indicatif d'un dérapage contrôlé. Juste après, il voit deux enfants non-morts voler dans la grande rue principale... Enfin il ne les voit que quelques secondes puisqu'il se trouve encore dans la ruelle et que son champ de vision ne s'étend qu'en hauteur.

Ni une ni deux, le jeune homme replonge dans la bataille et recommence massacrer du zombis. Il s'aperçoit rapidement qu'il ne reste plus beaucoup de zombis et que quelqu'un a commencé à nettoyer de l'autre côté.

Lorsque les deux derniers corps encore debout dans la ruelle sont les seuls bien vivants, Aurey dévisage l'autre survivant. D'après son équipement et sa tenue vestimentaire, il ne semble pas être une personne tout ce qu'il y a de plus banal.

- Bien joué mon gars, je vois que tu as compris qu’il faut leur exploser le cerveau pour t’en débarrasser ! Il vaudrait mieux pour toi de dégager de la ville rapidement, l’épidémie se propage trop vite et je crains que si l’on trouve pas une solution à ce problème, Tokyo va rapidement devenir un cimetière vivant ou un tas de gravats fumants !

Aurey retient la réponse acerbe qui tente de traverser ses lèvres et qui, faute de mieux, résonne dans sa tête.

Mais il se prend pour qui, ce merdeux ? Appelles moi « demeuré » tant que t'y es ! Et concernant Tokyo, c'est DEJA un cimetière vivant ET un tas de gravats fumants...

Pendant ce court laps de temps, il voit son interlocuteur se retourner dans la direction des coups de feu et analyser la situation dans laquelle ils se trouvent...

- Je m’appelle Gajil et je fais partie de l‘armée. Si tu veux, on peut te déposer quelque part. On va aller vers le centre ville pour aider le plus de monde possible. Sinon quitte la ville ou va t’enfermer à double tour chez toi avec pas mal de provision tout en priant qu’ils ne te trouvent pas ! L’armée est en train de mettre la ville sous quarantaine. Il vaudrait mieux être dehors quand les hordes de mort-vivants débouleront !

Sans attendre de réponse, ce dernier rengaine son sabre et file vers la voiture. Et sans plus de cérémonie, Aurey lui emboite le pas, l'instinct de survie laissant petit à petit Aurélien reprendre le contrôle. Il grimpe à la place du mort et passe son bras droit par la fenêtre afin de garder son Naginata à l'extérieur. Il a le temps de voir les dégâts causés par les deux amis du militaire avant que ce dernier ne les apostrophes pour qu'ils remontent.

Sur la trentaine de zombis présent au début, il n'en reste que quatre... Malheureusement, d'autres sont arrivés en même temps à cause du raffut des armes a feu. Aurélien ayant repris entièrement le contrôle, il prend conscience de ce qu'il vient de se passer...

C'est moi qui ais fait ça dans la ruelle.... Je ne me souviens pas l'avoir fait... Pourtant... J'ai encore la sensation des coups que j'ai porté....

Le claquement des portières arrières le tire de sa réflexion et lui indique qu'ils ne vont pas tarder à bouger. Se rappelant comment il a attiré les une-fois-mort dans la ruelle, il commence à frapper un rythme lent sur le côté droit de la voiture avec son naginata. D'un seul mouvement, les zombis tournent leur tête vers la voiture et commence à s'en approcher.

- Hey ! Qu'est-ce que tu crois être en train de faire ! Tu te rends compte que tu...
- DEMARRES !!

Le véhicule fait un magnifique « burn » et part en trombe dans la direction opposé au Cat's Eye. Une fois le véhicule suffisamment éloigné du café, le jeune Aurélien stoppe ses percussions. Il prend conscience que les lampadaires se sont allumés et que la nuit est sur le point de tomber.

- Hey, le civil !! Qu'est-ce qui t'a pris de frapper notre Hummer comme ça ?
- ...
- Gajil ? Tu l'as remarqué aussi ?
- Remarqué quoi ?
- Oui.... Les cadavres ont réagit au rythme qu'il a fait. Ils sont sensibles à une certaine fréquence peut-être...
- Non, juste au bruit... C'est quelque chose que j'ai remarqué durant ma traversé de la ville pour rejoindre le café... Ils ne réagissent qu'au bruit. Ils ne sentent pas la douleur et ne voient rien du tout. C'est pour ça que le nombre de zombis n'a pas cessé d'augmenter lorsque vous êtes arrivés avait commencé à les descendre. Et si j'ai produit ce bruit, c'est parce qu'il y avait des gens dans ce café, qui n'attendait que le moment où il n'y aurait plus de zombis dehors pour sortir.
- ...
- Tu es d'un calme étonnant pour un simple civil qui se retrouve dans une telle situation. N'importe qui se retrouvant dans ce merdier chercherait à se planquer ou à fuir. Non seulement tu ne sembles même pas effrayé, mais en plus tu n'hésites pas à attaquer.
- Il est vrai que la logique voudrait cette réaction... Mais de mon point de vue, la logique n'a pas sa place dans cette situation. Il n'y a donc pas de raison pour que je réagisse logiquement... Et puis je n'ai pas le temps d'avoir peur.
- ...
- Au fait, je m'appelle Aurélien. Reiseisa Aurélien. Et j'aimerais bien que vous me déposiez à proximité du lycée que l'on croisera dans moins de 5 minutes.
- Moi c'est Minoru et voici Sin.
- ....'Lut.
- Tu m'épates pour un civil vraiment... Tu as vraiment pensé à tout devant ce café. On te déposera dans la cour... elle doit être bondée de zombis, ça nous permettra de nettoyer un peu avant de se rendre dans le centre ville.

Le lycée étant en vue, le véhicule accelère et pulvérise les grilles d'entrées avant de déraper au milieu de la cours, en reversant un nombre impressionnant de non-morts. Certains se retrouvent même décapiter par la lame d'Aurélien avant de se s'envoler quelques mètres plus loin. Tous les zombis présent dans la cour, réagissent au bruit du moteur et s'approchent du véhicule ronronnant.

La porte du mort s'ouvre et le jeune Aurélien en descend. L'éclat mystérieux ayant repris sa place dans les yeux du jeune homme, il se tourne vers les trois militaires, tandis que quelques zombis ayant été propulsés quelques secondes plus tôt commencent déjà à se relever.

- Savez-vous quelle est la différence entre la Grande Cuisine et la Restauration Collective ?
- La qualité ?
- Effectivement... Là où la Resto Co ne recherche que la quantité, la Grande Cuisine fait preuve de qualité. Et si vous deviez vous désignez comme étant l'un des deux, que choisiriez-vous ?
- ..... Resto Co !
- Pourquoi ?
- Pour la simple raison que votre rôle est de vous occuper du plus grand nombre de personne qui vivent dans cette ville, ce que moi je ne peux faire. Vous n'avez pas beaucoup de temps à consacrer à chacun, donc ne rechercher pas la qualité du sauvetage, mais la quantité. Je me réserve la qualité.
- Bonne chance, Aurélien !
- Bonne chance à vous, compagnons de galère !

Aurey claque la porte et la voiture sort en trombe de la cour pour repartir en direction du centre ville.

Il se tourne vers les zombis approchant et ferme les yeux. Il balaye la cour avec son sixième sens et ne perçoit que le Ki des zombis. Il reste impassible quand les zombis proche de lui le frôle pour aller en direction des bruit de moteur encore perceptible. Puis il avance au milieu de ce troupeau de damné en ne faisant comme seul bruit celui de sa respiration, trop faible pour que ces derniers le perçoive. Il prend alors la direction de l'internat....

[Jour 1 – 21 mai 2012 – 19h30]
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« Tablier de sapeurs »....façon Zombis ! [21/05/12]

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